La situation de la personne migrante est souvent complexe. Des questions restent en suspens : Qu’est-ce qu’il faut garder ? Qu’est-ce qu’il faut rejeter ou reléguer au second plan ? Et la langue d’origine reste au centre du débat car elle constitue le véhicule de la culture. Dès lors, se posent ces questions : Faut-il la faire connaître à l’enfant? Est-ce nécessaire ?