« Malgré le divorce tchécoslovaque de 1993, une mémoire commune continue de lier les Français d’origine tchèque et slovaque en France. Peu visible dans l’espace public, complexe, construite sur plus d’un siècle, elle s’exprime par des canaux divers : commémorations qui renvoient à la Grande Guerre, activités culturelles et curiosité à l’égard des Républiques tchèque et slovaque, mais aussi définition de lieux de mémoire qui témoignent d’une appropriation symbolique de l’espace vécu. » (Résumé de l’article)