Cette thèse propose d’abord une relecture des migrations des travailleurs étrangers séjournant dans l’Est et le Sud-Est de la France entre 1871 et 1914. Il ne s’agit pas de comparer les espaces précités, mais de démontrer, qu’au-delà de la distance séparant espaces d’origine et d’accueil ou des déterminants de nature trop strictement économique, les parcours des individus concernés relèvent de logiques plus complexes.